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Etes-vous sensible à ce que les gens pensent ou disent de vous ?

Assumer sa sexualité reste une épreuve difficile aujourd’hui.

Etes-vous affecté par le regard parfois critique que les autres peuvent porter sur vous ? C’est une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes coachés, qu’ils soient étudiants, salariés, indépendants ou managers, hommes ou femmes, celle d’affronter sereinement le regard des autres. « Si je fais ça ou dis ça, que vont penser les gens autour de moi ? Que vont-ils dire à mon sujet ? »

Avoir peur du regard des autres peut prendre de multiples formes : ne pas oser être vous-même, peur de prendre la parole en public, être incapable de confronter vos proches sur un sujet en particulier, ne pas savoir exprimer vos envies et vos désirs de façon claire, ne pas oser demander une augmentation de salaire à votre patron, fuir le débat par peur d’être rejeté. Vous êtes nombreux à déployer des efforts colossaux au quotidien pour éviter d’être jugés négativement par les autres, cherchant au contraire à tout faire pour être appréciés. Vous portez alors des sortes de masques sociaux qui ne correspondent absolument pas à qui vous êtes réellement.

Il faut savoir que la peur d’être jugé est directement proportionnelle à votre propre propension à juger. Si vous jugez de façon systématique les faits et gestes des autres, alors il y a de fortes chances pour que vous soyez persuadé que les autres font pareil avec vous. Plus vous allez accorder de l’importance au jugement des autres, plus votre propre jugement perdra de la valeur. C’est comme ça que vous donnez aux autres le pouvoir de déterminer qui vous êtes. Accorder beaucoup d’importance au regard des autres, c’est donc se soumettre au diktat d’une échelle de valeur qui ne vous appartient pas.

Les réseaux sociaux comme Facebook ou Instagram sont un bel exemple qui illustre un besoin de reconnaissance de ce que l’on est ou de ce que l’on fait, à travers la recherche d’approbation via le nombre de likes ou de followers. La majorité des gens partagent leurs vies à des centaines de personnes qu’ils considèrent comme leurs « amis » et qui n’hésitent pas une seconde à les juger publiquement. Réussir à ne pas se laisser affecter par les commentaires parfois caustiques de certaines personnes est un challenge de tous les jours qui peut sérieusement affecter votre égo. C’est un bel exercice pour booster votre estime et votre confiance.

Ce que les autres pensent de vous n’appartient qu’à eux. S’ils vous disent que ce que vous avez décidez d’entreprendre est impossible, ils ne parlent que de leurs propres limites, jamais des vôtres dans la mesure ou leurs opinions et jugements se fondent sur leur propre système de valeurs qui n’a rien d’universel. Un conseil, ne les écoutez surtout pas.

Tout le monde possède une certaine tendance à juger. Le cerveau humain a besoin de catégoriser, de mettre des étiquettes sur ce qui l’entoure afin de se représenter le monde et de donner un sens aux expériences vécues. Cette catégorisation n’est pas le fruit du hasard. Ce qui attire votre attention chez les autres correspond à ce qui fait écho en vous. C’est ce que l’on appelle « l’effet miroir ». Lorsque vous portez un jugement, vous mettez inconsciemment le doigt sur une chose qui vous dérange chez vous et que vous cherchez le plus souvent à nier. Ainsi, l’effet miroir est une porte ouverte vers la connaissance de vous-même. En prenant conscience que vous avez tendance à projeter votre système de valeurs et de croyances sur les autres, vous vous apercevrez que la plupart du temps, les intentions et opinions que vous leur prêtez, vous appartiennent personnellement.

Si vous trouvez le regard des autres impitoyable, avez-vous conscience du regard que vous vous portez à vous-même ? Lorsque vous faites une erreur, que vous essuyez un échec ou simplement quand vous vous regardez dans le miroir, que vous dites-vous à vous-même ? Vous verrez que, bien souvent, vous n’êtes pas tendre. Vous vous rendrez compte que la plupart du temps, et à fortiori si vous manquez de confiance en vous, la personne la plus intransigeante envers vous-même, c’est vous. Vous êtes votre propre juge. Si vous avez toujours agi en fonction du regard des autres, peut-être n’avez-vous jamais pris le temps de vous demander ce qui vous anime vraiment. Il est alors essentiel de vous questionner sur vos valeurs et vos croyances. Quelles sont les vôtres et non celles de vos parents, de vos amis ou de la société ? Agissez-vous d’une telle façon pour vous ou alors pour plaire aux autres ?

Pour gagner en confiance, il est essentiel d’être plus indulgent envers vous-même. Par contre, si vous savez où vous en êtes dans votre vie et si vous êtes au clair avec vos échecs, vous serez moins susceptible d’être affecté par ce que les autres disent ou pensent de vous. Être bienveillant envers vous et vous parler positivement contribuent donc à améliorer votre estime. Lorsque celle-ci est renforcée, l’avis des autres perd de son importance et vous pouvez ainsi agir l’esprit totalement libre, focalisé sur votre objectif à atteindre. Se libérer de la peur du regard des autres et de leurs propos défaitistes passe d’abord par un changement de regard sur vous-même.

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Trop bu, trop mangé : faites gaffe aux plaisirs immédiats !

Un weekend de Pâques est souvent synonyme de repas entre amis, de soirées bien arrosées et de plaisirs gustatifs tels que le chocolat dans tous ses états. Se faire plaisir est primordial pour le moral mais attention aux excès en tout genre. Ils cachent bien souvent quelque chose…

Soyez vigilant aux plaisirs immédiats. Lorsque vous en abusez, vous risquez de ressentir après coup un certain vide. Pour combler ce vide, vous croyez devoir vous procurer une autre dose de plaisir superficiel. Cette course risque d’être sans fin car vous ne pouvez être heureux en vous focalisant principalement sur les plaisirs immédiats, tels qu’un gros morceau de gâteau ou la dernière paire de lunettes de soleil à la mode.

Ces plaisirs immédiats et ces achats compulsifs représentent une sensation momentanément agréable qui vous pousse à croire que vous serez heureux en la prolongeant le plus longtemps possible. Ce qui est tout à fait faux. Les activités qui vous procurent rapidement et facilement du plaisir ne touchent que votre corps physique.

Si vous voulez atteindre le vrai bonheur, partez à la recherche des éléments qui nourriront votre cœur et votre esprit. Êtes-vous capable de vous empêcher de freiner la pulsion de la dégustation immédiate et du plaisir rapide pour apprendre à votre cerveau émotionnel à augmenter votre seuil de tolérance aux frustrations ?

Le plaisir instantané est le plaisir au premier degré, celui qui vous fait culpabiliser d’avoir trop bu ou trop mangé ou encore d’avoir dépensé votre argent sans compter. Allez chercher le plaisir au second degré, celui qui vous apprend à intégrer des dimensions comme l’effort, la remise en question, la sortie de votre zone de confort, la rencontre d’obstacles, la tolérance à la frustration dans votre système de croyances.

Apprenez « à vous empêcher » pour être capable de développer de nouvelles compétences, ouvrir des possibles et dépoussiérer vos certitudes. En acceptant de faire face à vos frustrations, vous augmentez votre potentiel de réussite et de bonheur !

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Coacher avec l’arbre de vie

Opérer un changement dans votre vie, c’est clairement prendre du recul et faire en sorte d’avoir une certaine hauteur de vue par rapport à la situation que vous vivez. C’est sortir suffisamment du cadre et de la représentation que vous avez de vous-même et du monde qui vous entoure. Changer, c’est donc vous construire une nouvelle « carte du monde », en intégrant les évolutions de vos forces, de vos faiblesses, de vos besoins, de vos valeurs, de vos peurs et de vos croyances dans les différentes sphères de votre vie : la santé, la famille, l’amour, les relations, les loisirs, la carrière, les finances, la croissance personnelle ou encore la spiritualité.

Je vous invite ici à découvrir l’arbre d’éveil. Appelé également « arbre de vie » dans différents courants philosophiques ou religieux, il représente symboliquement votre chemin de vie, vos décisions et leurs conséquences. Il met en lumière ou plutôt en dessin vos qualités, vos atouts, vos valeurs, les événements que vous avez traversés, illustrant ainsi votre parcours de vie depuis votre naissance.

Lors d’une retraite spirituelle à l’Abbaye Notre-Dame de Saint-Rémy à Rochefort, un arbre d’éveil a fait sens pour moi dans ma vie. Après de nombreux pilages et invasions au cours du temps, les moines qui vivaient à l’abbaye n’ont jamais baissé les bras. Lors des travaux de reconstruction en 1664, ils ont installé cette vigoureuse devise sur une pierre, au-dessus de la porte de l’écurie « curvata resurgo » (courbée, je me redresse). Un moyen efficace de rappeler aux passants que malgré le temps et ses épreuves, les moines sont toujours là. Cette devise symbolise leur détermination face aux envahisseurs et aux destructions mais aussi la force d’un arbre courbé qui se redresse pour aller chercher la verticalité, la lumière, l’alignement.

Vous êtes aligné quand vos pensées, vos émotions, vos actes et vos paroles correspondent à vos valeurs. Vous êtes alors en accord avec vous-même. Un bon alignement personnel consiste donc à avoir trouvé un parfait équilibre entre les trois dimensions que sont votre mental, vos émotions et vos actions. Une personne bien alignée démontre alors une bonne cohérence d’ensemble dans son action quotidienne comme dans sa spiritualité. Le fait d’être aligné intérieurement génère une connexion solide avec votre être profond, contribuant ainsi à une plus grande authenticité. Le fait d’être en contact avec ce qui est là, d’avoir cette qualité de présence vous permet de connecter à ce qui se passe vraiment, ce qui vous rend disponible pour saisir l’essence de ce que la vie vous offre.

Dessiner votre arbre d’éveil est une approche métaphorique puissante, simple et créative qui vous permettra d’aller vers votre cohérence intérieure. Cette transposition visuelle et artistique de votre vie permet de dégager le sens de votre parcours, aide à une meilleure compréhension de ce qui vous est spécifique, favorise l’émergence de nouvelles possibilités d’évolution et vous amène à prendre contact avec vos ressources. Il se construit en 8 étapes après en avoir tracé sur une feuille ses contours :

  • La sève représente votre énergie et votre état émotionnel.
  • Les racines caractérisent l’environnement dans lequel vous avez grandi, vos besoins, votre raison d’être, votre vision de vie, votre aspiration.
  • Le sol correspond à ce qui vous nourrit, les valeurs qui vous sont chères et qui fondent votre système de croyance.
  • Le tronc identifie vos forces, vos compétences, vos ressources, vos talents, vos moteurs, vos motivations.
  • Les grosses branches symbolisent vos objectifs à atteindre dans les différentes sphères de votre vie, les projets que vous souhaitez réaliser en lien avec votre vision.
  • Les petites branches représentent vos petites actions et vos défis du quotidien.
  • Les feuilles vont porter les noms des personnes importantes dans votre vie qui sont sources d’inspiration pour vous et toutes les ressources disponibles autour de vous.
  • Les fruits symbolisent les cadeaux de la vie, vos réussites et vos résultats.

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Vous êtes la somme de vos choix, pas ceux de quelqu’un d’autre

Savez-vous exactement ce que vous voulez faire ou être dans votre vie ? Choix difficile, n’est-ce pas ? Si vous ne trouvez pas facilement la réponse, il ne faut surtout pas vous blâmer. Vous n’en êtes pas totalement responsable.

Pendant très longtemps, les individus se sont conformés à un destin défini par leur naissance : classe sociale, métier transmis de père en fils, rôle prédéterminé en fonction de leur sexe, de leur place dans la famille ou de leur religion. Chacun suivait les impératifs de la société, pour en assurer la cohésion et l’équilibre, sans qu’il ne soit jamais question d’un quelconque épanouissement individuel librement décidé. En décrétant la liberté et l’égalité à travers les démocraties contemporaines, elles ont davantage individualisé la société et donné à chacun la responsabilité de son développement personnel et de son propre bonheur. Mais aussi la possibilité de choisir tout ce qui, jusqu’alors, était imposé. Cependant, trouver le moyen de devenir un être libre, épanoui, harmonieux et développé n’est pas si aisé que cela, quand personne ne vous a jamais appris à le faire.

Depuis votre petite enfance, vos parents ou les adultes qui vous ont éduqué vous ont bombardé d’injonctions les plus diverses : le choix de l’école que vous fréquentiez, le type d’étude que vous suiviez, la profession qu’il était souhaitable que vous exerciez, l’activité sportive ou culturelle que vous pratiquiez, les vêtements que vous portiez, parfois cela pouvait aller jusqu’aux personnes avec lesquelles vous deviez avoir des amitiés et pour quelques-uns, dans certaines cultures, la désignation du futur conjoint à épouser.

Dans le meilleur des cas, vos parents avaient pris la peine d’en discuter avec vous et de tenir compte de votre avis et de vos choix. Mais quand quelqu’un a décidé pour vous l’espace de toute une vie, êtes-vous dans la capacité de réfléchir et de savoir personnellement ce que vous voulez être, faire et avoir dans votre vie ? Vous en êtes tout bonnement démuni car votre cerveau n’a pas été habitué à réfléchir à ce genre de questionnement. Et malheureusement l’école ne vous y a que très peu préparé, en imposant même à certains jeunes des parcours de vie prédéfinis sans nécessairement leur en demander leur avis. Pourtant, sachez que vous êtes la somme de vos choix et pas ceux de quelqu’un d’autre.

La question du choix, en milieu scolaire, est intimement liée à celle de la construction d’un parcours de réussite pour chacun en fonction de ses aspirations, de ses motivations et des efforts qu’il est prêt à fournir en connaissance de ses capacités et de ses limites. Cette construction nécessite du temps, très certainement, mais pas seulement. Cela réclame aussi des opportunités pour se questionner, se mesurer et mieux se connaître. Si l’école tente de semer, au travers des apprentissages, des savoirs et des compétences utiles à l’élève pour son futur, qu’en est-il d’une orientation positive durant le parcours scolaire ? On peut en douter quand l’orientation d’un jeune est actuellement essentiellement réalisée de manière négative et soumise à des mécanismes de relégation. La plupart du temps, le choix d’étude d’un jeune dans l’enseignement se fait par défaut, justifié par des échecs scolaires. L’école de demain va sans doute devoir se réinventer pour mieux semer et mieux préparer les élèves à la grande diversité des parcours possibles tout au long de leurs études, en plaçant le jeune et son projet au centre des réflexions de son parcours de vie le plus rapidement possible et dès son plus jeune âge, en l’accompagnant à s’orienter et à faire ses choix lui-même plutôt qu’être orienté.

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Visualisez pour obtenir tout ce que vous désirez

Qu’est-ce-qui constitue mentalement les plus gros freins à votre évolution et vos succès ? Quelles sont vos limites personnelles ? Dans quelles sphères de votre vie les identifiez-vous ? Votre santé ? Vos relations ? Votre carrière ? Je vous invite à les noter pour en prendre pleinement conscience. C’est la première étape de toute évolution. Soyez attentif à vos paroles, à vos mots, à vos pensées et à leur contenu. Saisissez-en les impacts sur votre vécu et réfléchissez déjà à leur transformation.

Si vous avez le sentiment que vous ne vivez pas la vie que vous avez toujours désirée, il est plus que probable que des croyances vous limitent dans votre progression. La clé essentielle pour avancer, réussir et trouver le bonheur est d’analyser votre monde intérieur pour le reprogrammer en fonction de vos désirs les plus chers.

La visualisation est un excellent moyen pour reprogrammer votre esprit avec des images positives et stimulantes qui vont transformer vos croyances limitantes en croyances portantes. Cette technique permet tout d’abord de calmer les battements de votre cœur et d’apaiser votre esprit. Sa pratique quotidienne et régulière entraîne une reprogrammation durable des expériences négatives.

Le soir avant d’aller vous coucher ou dès votre réveil, fermez les yeux, respirez profondément et calmement jusqu’à vous sentir totalement apaisé. La méditation, la relaxation, le contact avec votre respiration ou toute autre introspection ne font que créer un espace d’oxygénation au niveau du cœur et de votre esprit, entraînant des images mentales plus constructives. Vous entrez alors dans un mode que les neurosciences appellent « fréquence alpha ».

Les ondes alpha ont une fréquence de 9 à 13 Hz (hertz, ou cycles par seconde) et apparaissent chez tous les individus en état de veille ou au repos les yeux fermés. Par contre, elles disparaissent complètement pendant le sommeil. Les ondes alpha caractérisent un état de conscience apaisé que l’on retrouve particulièrement lors d’une méditation légère, d’une séance de relaxation ou d’autohypnose. Dans cette fréquence, votre subconscient est particulièrement réceptif aux messages que vous lui envoyez. Visualisez les objectifs que vous souhaitez réaliser comme si vous les viviez déjà avec des détails très précis.

Je vous recommande vraiment d’utiliser des affirmations et des suggestions positives qui vous permettront d’augmenter votre capacité à aller de l’avant. Au plus vous les utiliserez, au plus elles s’imprimeront dans votre esprit et permettront de reprogrammer votre subconscient. Si vous répétez ces pensées chargées émotionnellement, vous aurez de grandes chances qu’elles s’inscrivent durablement dans votre subconscient avec des images rassurantes, positives et pleines de bon sens pour vous.

Enfin, je vous invite à vivre dans l’instant présent. Rien ne sert de ruminer le passé. Il a déjà eu lieu et vous ne pouvez plus rien changer. Vous n’êtes plus tenu de reproduire les erreurs que vous avez déjà commises et pour lesquels pour vous vous êtes déjà jugé plusieurs fois. Vous avez uniquement le pouvoir de changer qui vous êtes maintenant. Il ne sert à rien non plus d’imaginer ce que l’avenir vous réservera.

Je vous encourage encore à ne plus faire de suppositions sur ce qui risque d’arriver dans votre vie car trop souvent elles vous programment à souffrir et à rester dans la peur. L’avenir dépendra de ce que vous faites aujourd’hui. Mais tout est question de désir, de choix et d’engagement. Et ce choix vous appartient. Vos relations, vos performances, votre détermination, votre confiance en vous ne s’amélioreront que si vous avez pris la véritable décision de changer votre programme intérieur. « Tout ce que l’esprit de l’homme peut concevoir et croire, il peut l’accomplir », s’est évertué à répéter Napoleon Hill. N’oubliez donc jamais la force de votre esprit.

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Voulez-vous d’une vie matériellement confortable qui risque de se terminer une fois sur deux par une séparation ?

La majorité des gens estiment qu’il existe un schéma de vie prédéfini qui consiste à suivre des études, obtenir un diplôme, décrocher un travail bien rémunéré, trouver le partenaire idéal, fonder une famille, acheter une maison, élever un chien, partir en vacances une ou deux semaine(s) par année. Vous voyez sans doute de quoi je parle ? J’ai vécu cela moi aussi pendant plusieurs années. Le plaisir dure un temps. Il est souvent de courte durée. Puis la routine s’installe. Les gens se contentent d’une vie matériellement rassurante et pensent alors que tous leurs problèmes sont résolus. Jusqu’au jour où plus rien ne va. Les disputes s’enchaînent. Celle ou celui qui était parfait(e) au départ devient tout à coup le pire des monstres à vos yeux. Le couple explose. Les enfants sont ballotés d’un foyer à l’autre. On refait sa vie comme on peut en passant d’un partenaire à un autre et en reproduisant les mêmes schémas, ou alors on décide de rester seul à se morfondre et à en vouloir à mort à cette ordure qui nous a quittés. Comment ce schéma a-t-il fonctionné dans votre vie jusqu’à présent ?

En ce qui me concerne aujourd’hui, j’estime que cette façon de voir les choses est le meilleur moyen d’avoir une vie triste à en mourir. Regardez un peu autour de vous, parmi vos amis, le nombre de divorces ne fait qu’augmenter. Quand on y regarde de plus près, on constate que 4 mariages sur 10 se terminent par une séparation. La durée moyenne du mariage oscille autour de 15 années et certains experts s’accordent pour dire que c’est après 5 années de mariage que le risque de divorce est le plus élevé. Parmi les raisons les plus fréquemment citées, nous pouvons citer l’infidélité, le manque de complicité, les désaccords sur les fondamentaux de la vie commune comme l’éducation des enfants, l’argent, le surmenage au travail, la belle-famille ou encore l’addiction à l’alcool. Voulez-vous d’une vie en apparence sans problème mais ennuyeuse au possible qui risque de se terminer, une fois sur deux, par un échec ou d’une vie passionnante avec de nouveaux défis à relever, seul ou en couple ?

Pour croître et créer une vie extraordinaire, il ne suffit pas simplement de l’espérer. Il vous incombe de prendre une véritable décision et de vous engager dans ce changement. Si vous êtes poussé par quelqu’un d’extérieur, que ce soit votre partenaire, un membre de votre famille, un collègue ou un ami, il est fort probable que vous n’atteindrez pas les résultats escomptés. Votre système nerveux, qui préfère rester dans sa zone de confort, doublera de vigilance et vous fera reculer inéluctablement. En revanche, si vous décidez personnellement ou en couple de manière conjointe de vous engager, de vous responsabiliser et de devenir le leader de votre propre vie, vous aurez bien plus de chance d’atteindre le succès. Une fois cette décision prise, vous allez immédiatement transmettre à votre système nerveux de vous donner l’autorisation et les moyens de sortir de votre zone de confort.

Combien de personnes sur leur lit de mort ne partent pas avec de nombreux regrets ? Voulez-vous faire partie de celles-ci ? Quand les gens se rendent compte que leur vie est presque terminée et qu’ils la regardent avec clarté, ils voient le nombre de rêves qu’ils avaient et qu’ils n’ont pas pu réaliser ou encore le courage qu’ils n’ont pas eu d’exprimer leurs sentiments. Bien souvent, ils pensent à la détresse qu’ils ont causée à eux-mêmes et aux autres, en jouant une personne qu’ils n’ont jamais vraiment été. Ils ont également la conviction forte que le bonheur était un choix. Tant que vous avez encore de nombreuses années à vivre, et quand bien même il ne vous en resterait que très peu, prenez le temps de poursuivre vos rêves. Ne les remettez jamais à demain. Un jour, ce sera trop tard…

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Avez-vous été programmé à réussir ou à échouer ?

Nous sommes tous dotés d’un programme intérieur comparable au disque dur d’un ordinateur extrêmement puissant. Votre cerveau a été programmé en concluant, depuis votre naissance et ce malgré vous, des appariements avec la société, vos parents, votre conjoint, vos enfants, vos amis ou encore votre patron. Mais le plus important sont ceux que vous avez passés avec vous-même. La somme de ces appariements est ce que nous appelons plus couramment la personnalité d’un individu, c’est-à-dire son système de croyances, ce qu’il ressent, sa façon de réagir face à un événement ou encore l’attitude qu’il adopte dans ses relations. Bref, un ensemble de caractéristiques qui influencent de façon unique ses pensées, ses émotions et ses comportements dans des situations de vie les plus variées.

Le problème est que la grande majorité des gens ont été programmés à échouer ou à ne pas avoir confiance en eux car leur système de croyances a été réglé sur la peur ou l’échec. C’est la raison pour laquelle ils sont amenés à chercher des excuses, à remettre la faute sur les autres et à croire que réussir est impossible pour eux. Si vous n’êtes pas responsable du programme intérieur que vous avez reçu dans votre enfance, vous êtes en revanche 100 % responsable de sa mise à jour une fois adulte.

Se débarrasser de ses croyances limitantes est sans doute le travail le plus important à faire pour libérer votre plein potentiel. Mais comment arriver à vous reprogrammer ? Votre subconscient a un pouvoir immense pour contrôler votre vie, vos choix et vos actions. Tous les jours, tel un disque dur stockant vos émotions, il travaille activement absorbant ou rejetant des informations basées sur une perception existante que vous avez du monde autour de vous. Cette perception a commencé à se former avant l’âge de vos 7 ans au contact de vos parents. Votre subconscient n’a rien rejeté quand vous étiez jeune parce que vous n’aviez aucune croyance pour contredire ce qu’il percevait. Il a simplement accepté et considéré comme vraies toutes les informations positives ou négatives que vous avez reçues. Il a enregistré de nombreuses informations pour construire le système de croyances que vous possédez maintenant en tant qu’adulte.

Quand vos croyances sont en harmonie avec ce que vous voulez, vous êtes en parfait accord. Il n’y a donc pas de conflit. Par contre, quand vos croyances sont en conflit avec ce que vous voulez, il peut en découler une forme d’auto-sabotage. Vos croyances limitantes et vos croyances conflictuelles viennent ainsi saboter votre vie. Vous gaspillez alors énormément d’énergie au sein d’une lutte intérieure qui vous dépasse.  Que se passe-t-il si vous avez une croyance qui vous dit que trouver l’âme sœur vous rendra épanoui et une autre qui vous dit que l’engagement n’est pas fait vous car vous risquez de perdre votre liberté à laquelle vous tenez tellement ? Dans tous les cas, sans vous en rendre compte, chaque fois que vous allez rencontrer un nouveau partenaire, vous risquez grandement de saboter vos relations amoureuses les unes après les autres et de vous retrouver bien seul. Souvenez-nous, votre subconscient prendra toujours le dessus tant que vous ne l’aurez pas habitué à croire autre chose. Vos croyances sont si fortes qu’elles n’apprécient pas être défiées. Quoi de plus logique puisqu’elles sont ancrées en vous et vous apportent raison et certitude depuis toujours, même celles qui polluent votre vie et vous empêchent de vous réaliser pleinement.

Ne pensez-vous pas qu’il est grand temps de vous attarder sur les croyances qui vous limitent ? Commencez par observer le comportement que vos parents avaient avec vous quand vous étiez enfant ou alors examinez la façon dont certains adultes traitent les enfants dont ils ont la responsabilité en tant que parents, enseignants, entraîneurs ou animateurs. Quelles attitudes ont-ils envers eux ? Quelle est la nature de leurs paroles ? Tout commence par des expressions telles que : « tu es nul » ; « tu es gros » ; « tu es un incapable » ; « tu n’as pas de cerveau » ; « tu es timide » ; « tais-toi » ; « ça ne fera pas plaisir à maman » ; « un homme, ça ne pleure pas » ; « il faut souffrir pour être belle ». A force de les répéter, la peur et le doute s’installent. Et au bout d’un temps, les paroles des autres s’impriment dans votre subconscient et deviennent vos propres réalités. Vous voyez de quoi je parle ? Après, on se demande pourquoi nous sommes incapables de parler en public, d’exprimer notre créativité, d’exceller dans notre passion, d’avoir confiance en nous, de se sentir heureux ou bien d’aimer. La voix qu’un enfant entend durant son enfance est la voix qu’il risque d’avoir dans sa tête toute sa vie.

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Êtes-vous plutôt du genre à donner ou exclusivement à prendre en amour ?

Il y a bien longtemps, j’ai découvert que j’étais victime d’un comportement de dépendance affective. Heureusement, ce temps-là est bien révolu. Aujourd’hui, j’aime de manière inconditionnelle la merveilleuse femme qui partage ma vie.

Quand j’ai découvert que d’autres personnes souffraient du même syndrome que moi, ça m’a rassuré dans un premier temps. Quelle joie j’ai ressenti de ne pas être l’unique névrosé sur cette terre car la dépendance affective se joue toujours par équipe de deux. Il y a celui qui donne et celui qui prend, et l’univers les attire toujours mutuellement.

Celui qui donne tombe toujours sur quelqu’un qu’il qualifiera à terme de profiteur. D’une générosité débordante et maladive, vous donnez tout votre amour sans compter et vous courez désespérément après l’affection des autres. Au départ, vous êtes souvent attiré par quelqu’un qui souffre un peu plus que vous. Votre envie la plus profonde est bien évidemment de le sauver. C’est de cette manière que vous pouvez exister, quand les gens ont besoin de vous. Vous ne ratez jamais une occasion de vous dévouer corps et âme pour soutenir quelqu’un d’autre. En proie à l’injustice et à la colère, vous avez du mal à comprendre pourquoi votre partenaire ne répond pas à vos attentes, après tout ce que vous faites au quotidien pour lui jusqu’à vous faire plumer financièrement.

Bien souvent, vous avez manqué d’affection et de reconnaissance dans votre enfance, ce qui vous pousse à être prêt à tout – je dis bien à TOUT – pour combler votre carence en affection. Dans le but d’être aimé et d’être reconnu, vous êtes même prêt à vous oublier complètement et à devenir quelqu’un d’autre. Dépendant affectif de votre conjoint, vous l’êtes également du regard que les gens portent sur vous, de leurs jugements et ce qu’ils pensent de vous. Pour seulement quelques miettes d’attention, vous donnez tout car vous pensez que vous ne valez rien, tellement vous êtes dans l’incapacité de prendre conscience de votre propre valeur.

Si vous ne vous retrouvez pas dans ce premier portrait, allez-vous avoir le courage d’affirmer que vous correspondez au suivant ?

Celui qui prend a tendance à dévorer littéralement l’affection des autres, sans jamais la rendre ou alors que très peu, du moins quand ça l’arrange. Coupé de vos émotions car elles vous ont terriblement fait souffrir par le passé, vous avez une sérieuse revanche à prendre sur la vie en captant l’attention et la reconnaissance des autres. Peut-être avez-vous été, à un moment donné dans votre vie, celle ou celui qui a beaucoup donné sans jamais recevoir en retour ? Et par protection ou réaction, vous êtes passé de l’autre côté selon qui vous rencontrez. Du genre « beau brun ténébreux » ou « femme fatale en détresse », vous êtes un(e) boulimique en recherche d’affection qui vous a manqué durant votre enfance. Vous donnez peu, juste pour attirer dans vos filets celle ou celui qui viendra combler votre manque d’amour. Alors, faites-vous partie de cette catégorie de personne ?

Vous l’avez compris, l’un et l’autre vont si bien ensemble. Ils s’associent parfaitement vu que leurs névroses se nourrissent si bien réciproquement. Une personne équilibrée a beau passer sur votre chemin, vous ne la voyez même pas. De toute façon, ça ne marcherait pas, puisqu’elle a du flair pour repérer les dépendants affectifs. Dès qu’elle croise un névrosé de l’amour, toutes sortes de signaux lumineux clignotent de partout et lui disent de ne surtout pas tomber dans le panneau, au risque de se faire totalement dévorer.

Mais rassurez-vous, la dépendance affective n’est pas une grave maladie. C’est juste une mauvaise programmation de votre cerveau. Bonne nouvelle, il est possible de vous reprogrammer grâce à un travail d’introspection. Par manque d’affection ou de reconnaissance durant votre enfance, vous avez été conditionné à en chercher une fois adulte. Ce qui est tout à fait normal, me direz-vous ? Tout le monde cherche le bonheur et l’amour. Oui, sauf que ce manque d’affection vous pousse à adopter des comportements inadéquats et malsains qui font souffrir vous et votre entourage, tant dans vos relations sociales que professionnelles.

Quels sont les principaux signes de la dépendance affective ?

  • Vous avez du mal à prendre des décisions sans le consentement de votre partenaire.
  • Votre conjoint décide pour vous pour assumer certaines responsabilités (gestion financière et organisation familiale).
  • Vous craignez et évitez tout désaccord (peur des conflits et d’être quitté).
  • Vous mentez ou détournez la réalité pour ne pas susciter des réactions excessives chez votre conjoint.
  • Vous vous rendez spontanément responsable de ce qui ne va pas dans votre couple (vous vous excusez de tout et de rien).
  • Vous vous sentez obligé de satisfaire les demandes et les besoins de votre conjoint.
  • Vous êtes incapable de poser vos propres limites dans l’environnement familial.
  • Vous retournez sans cesse vers votre partenaire malgré les disputes, la souffrance, le rejet ou la séparation.

Vous êtes sans doute un chouette gars ou une super nana, avec de grandes qualités, mais sans une prise de conscience vous risquez de reproduire ce schéma encore bien longtemps dans votre vie. C’est pour cela que vous enchaînez toujours le même type de conjoint qui vous fait souffrir. Vous essayez de rendre heureux quelqu’un qui ne peut désespérément pas l’être. Et quand bien même elle ou il s’en va, vous vous agrippez farouchement à celle ou celui qui vous nourrissait. Un conseil, laissez bien cette personne partir. Vous n’êtes pas le thérapeute de votre conjoint. En réalité, ce n’est pas le partenaire qu’il faut changer mais bien vous et votre système de croyances. L’être humain est conçu pour donner et recevoir de l’amour de manière inconditionnelle, mais pas dans une relation de dépendance, prêt à tout pour en recevoir.

Alors, dans quel camp vous situez-vous ? Je vous vois cogiter, ce qui détermine automatiquement celui de votre conjoint ou de votre ex-partenaire. Je sais tout cela pour l’avoir vécu et pour en avoir souffert un certain temps. Battez-vous pour sortir de la dépendance affective et je vous promets que vous serez bien plus heureux avec le partenaire idéal pour le reste de votre vie. Oui, cela existe. Je vous l’assure. Tout est possible à qui veut changer. Il faut juste déprogrammer ce qui nuit à votre équilibre émotionnel. Aimer, ce n’est pas souffrir. Aimer, c’est une histoire toute simple entre deux personnes libres, en paix avec elles-mêmes, avec les mêmes désirs de vie à deux.

Voilà, j’espère que cet article vous aura inspiré et vous aidera à vous libérer des lianes de la dépendance affective. Alors, qu’en pensez-vous ? Partagez-moi vos impressions et vos expériences ! C’est toujours très intéressant d’avoir votre retour. Pour aller plus loin, je vous invite vraiment à lire « Le syndrome de Tarzan » de Pascale Piquet (Béliveau éditeur), témoignage d’une femme inspirante et spécialiste de la dépendance affective qui s’en est détaché après 11 ans d’abstinence.

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Avez-vous le courage de filtrer votre entourage et votre environnement pour atteindre le bonheur ?

Qu’on le veuille ou non, votre environnement a un impact direct sur la qualité de votre vie. Votre cerveau est capable de percevoir des millions d’informations simultanément. Les adultes qui vous entourent ont introduit des informations dans votre esprit par répétition, tout au long de votre enfance. C’est ainsi que vous avez appris tout ce que vous savez aujourd’hui. En vous servant de votre concentration, vous avez appris comment vous comporter en société, que croire et ne pas croire, ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas, ce qui est bon ou mauvais, ce qui est juste ou faux. À l’école, assis sur une chaise, votre concentration a été portée sur ce que votre professeur vous enseignait. À la maison, tous s’efforçaient de la capter également, vos parents, vos frères et sœurs.

Vous n’avez pas choisi de parler la langue que vous parlez. Comme vous n’avez pas choisi les valeurs morales qui constituent votre système de croyances. Vous n’avez même pas choisi votre prénom. Par principe, les enfants croient tout ce que les adultes leur disent. Pourtant, ils n’ont jamais donné leur consentement pour accepter l’ensemble de ces croyances. Il en résulte même une forme d’asservissement. Jour après jour, à l’école, à la maison, devant la télévision, connecté à Internet, on vous dit comment vivre et quels sont les comportements acceptables et ceux qui ne le sont pas. Vous apprenez aussi à juger. Vous êtes même très fort dans ce domaine. Vous vous jugez vous-même. Pire encore, il vous arrive très souvent de juger les autres.

Les enfants sont asservis comme on peut dresser un chiot par un système de punitions et de récompenses. Souvenez-vous, chaque fois que vous aviez enfreint une règle, vous étiez puni. En revanche, lorsque vous l’aviez respectée, vous étiez congratulé. Et ce plusieurs fois par jour même. Puis, vous avez commencé à avoir peur d’être puni ou de ne pas recevoir de récompenses. Pour faire plaisir à votre entourage ou paraître assez bien à leurs yeux, vous êtes même devenu quelqu’un d’autre avec un masque social que certains portent encore aujourd’hui à l’âge adulte. C’est ainsi que vous vous êtes efforcé de faire plaisir à vos parents, à vos enseignants, à vos amis, à votre patron ou encore à votre conjoint bien souvent par peur d’être rejeté ou suffisamment aimé. Au bout du compte, vous êtes devenu quelqu’un d’autre que vous-même. Toutes vos tendances naturelles à vous réaliser et cette soif de créativité fortement présence chez l’enfant que vous étiez se sont peu à peu perdues au cours de votre existence.

L’asservissement a été si fort, qu’arrivé à un certain point de votre vie, devenu adulte, vous n’avez plus besoin de personne pour vous asservir. Vous pouvez désormais vous dresser tout seul, selon le même système de croyances que l’on vous a inculqué, en utilisant le même processus de punitions et de récompenses. Vous devez votre propre juge. L’être humain est le seul sur cette terre qui paie des milliers de fois pour chacune de ses erreurs. Vous commettez une erreur, vous vous jugez, vous vous déclarez coupable et vous vous punissez. Combien de fois vous êtes-vous flagellé pour une petite erreur que vous aviez commise et qui refait sans cesse écho dans votre tête et vous déchire le cœur, à un point tel qu’elle en devient une obsession dont vous ne savez plus vous détacher, qui vous bloque et vous empêche de vous réaliser ? Combien de fois avez-vous fait payer la même erreur à votre conjoint, à vos enfants ou encore à vos collègues au boulot ? Comment ce schéma résonne-t-il dans votre tête ?

Vous avez compris que votre environnement a le pouvoir soit de vous tirer vers le haut soit de vous détruire. Cependant, n’en voulez jamais à vos parents. Ils ont fait ce qu’ils pouvaient avec l’asservissement qu’ils ont eux-mêmes reçu. Tout comme vous, ils n’y ont pas donné leur consentement. Par contre, vous avez le pouvoir, dès aujourd’hui, de prendre conscience de l’environnement qui vous entoure et de faire des choix si celui-ci ne vous convient plus. Si vous n’êtes pas responsable du programme intérieur que vous avez reçu dans votre enfance, vous êtes en revanche 100 % responsable de sa mise à jour une fois adulte. Si vous vous voulez que votre vie s’améliore, vous devez créer un environnement favorable à votre croissance à tous les niveaux.

Votre entourage a un impact puissant et direct sur votre qualité de vie et détermine vos résultats à atteindre. Pensez-vous que les gens qui réussissent dans la vie s’entourent de personnes négatives qui les découragent sans cesse ? Bien-sûr que non. Elles s’entourent de personnes positives qui les poussent à se dépasser. Le cercle vertueux de la réussite nécessite d’aller vers des personnes qui ont connu le succès dans le domaine où vous-même aimeriez progresser et réussir. Par simple contagion, votre cerveau imite et absorbe les attitudes et les compétences de ceux que vous fréquentez le plus.

La première étape vers votre bonheur sera de faire le tri dans vos relations. Tant dans votre cercle d’amis, même virtuel, que dans votre famille. Parfois, il faut avoir le courage de s’éloigner de certaines personnes ou de laisser partir d’anciennes relations et le dire simplement avec bienveillance et sincérité. Soyez également ouvert à de nouvelles rencontres. Savez-vous que vos résultats aujourd’hui correspondent à la moyenne des personnes que vous fréquentez ? Si vous voulez rester malheureux, passez beaucoup de temps avec des gens négatifs, nerveux et déséquilibrés. En revanche, si vous voulez booster vos affaires, entourez-vous de personnes qui réussissent. Si vous souhaitez rencontrer l’âme sœur, allez la chercher là où vous êtes certains de tomber sur une personne qui ne vous fera pas revivre une situation nuisible répétitive, dont vous voulez absolument vous débarrasser aujourd’hui et pour toujours.

Je vous invite à commencer par dresser une liste des personnes qui ont un impact positif ou négatif sur notre vie, sans oublier celles qui sont neutres. Vous comprendrez très vite que vos fréquentations et le temps passé à leur côté détermineront la réalisation de vos projets ou au contraire leur anéantissement. Si votre environnement relationnel a toute son importance, ne négligez pas non plus votre environnement cognitif (relatif à l’information et à la connaissance) et votre environnement physique (relatif au contexte dans lequel vous vivez). Faites également la liste de toutes les influences porteuses vers votre réussite et votre bonheur : les livres que vous lisez, les sites Internet que vous consultez, les médias que vous suivez, les réseaux sociaux auxquels vous adhérez, la musique que vous écoutez, les émissions ou les films que vous regardez à la télévision, sans oublier l’endroit où vous vous vivez ou celui dans lequel vous souhaitez passer vos futures vacances, qui doivent être en harmonie avec vos valeurs et vos besoins.

Si vous souhaitez rapidement améliorer votre niveau de vie, ne négligez pas non plus le pouvoir du coaching et de l’accompagnement personnalisé. En Europe du Nord, avoir un coach n’est pas monnaie courante, alors qu’en Amérique et au Canada, c’est tout à fait habituel. Notre monde, aujourd’hui, se caractérise par une accélération des rythmes en matière d’informations, de découvertes, de formations, de carrières. La gestion du changement est devenue une question majeure dans le monde des organisations mais aussi à l’échelon personnel. Or le changement est inconfortable par nature. Le coaching permet de l’appréhender et d’y voir des opportunités de croissance.

De plus, nous vivons un concept novateur qui est de considérer l’ego comme la référence de nos choix, sans pour autant tomber dans l’égocentrisme. Cela veut surtout dire une bonne connaissance de qui vous êtes et des relations à l’environnement dans lequel vous vivez. Ce que vous faites dans votre vie, vous le faites parce que vous le choisissez, parce que cela vous convient et parce que cela correspond à quelque chose qui vibre en vous. Dans ce sens, quand vous vous sentez bloqué, le coaching est un magnifique éveil à la conscience qui vous aide à mieux vous connaître et à clarifier vos projets de vie. L’art du questionnement, mené avec justesse, vous pousse dans vos retranchements et vous permet d’aller bien plus loin que ce que vous pourriez faire tout seul. C’est de loin le meilleur investissement dans votre vie que vous puissiez faire pour atteindre votre bonheur.

Enfin, n’hésitez pas à faire partie d’un mastermind. Ce terme peut se traduire comme la rencontre des « esprits maîtres ». Ce concept a été mentionné pour la première fois par Napoleon Hill en 1937 dans son ouvrage « Réfléchissez et devenez riche ». Aujourd’hui, le mastermind prend une autre dimension. Des experts se retrouvent autour d’une thématique donnée dans l’objectif de partager leurs meilleures pratiques. Par mimétisme, vous serez influencé par les actions et le parcours des autres. Ces actions deviendront pour vous normales et naturelles, de sorte que l’impossible devient possible. La puissance collective va déclencher l’action de votre côté. En étant inspiré par les actions et les résultats des autres, vous allez agir différemment. C’est l’effet « neurones miroirs » qui va vous encourager à vous mettre dans l’action pour atteindre voire dépasser les objectifs que vous vous étiez fixés.

Si des récentes recherches ont prouvé que certaines personnalités sont plus enclines que d’autres à vivre avec le sourire puisqu’elles présenteraient certaines prédispositions génétiques, cela ne suffit pas pour atteindre le bonheur. Il faut pouvoir développer des stratégies personnelles pour agir sur votre niveau de joie de vivre. L’environnement autour de vous est certainement porteur mais vous avez aussi la capacité d’agir sur vos propres aptitudes à être heureux et à réussir. Vous avez la possibilité de relativiser, de prendre la vie du bon côté, d’agir sur vos pensées, vos émotions et vos actions. Regardez autour de vous, le bonheur existe. Et quand il survient, il semble se moquer de l’âge, du sexe, du quotient intellectuel ou émotionnel, de l’apparence physique, du niveau d’éducation, des revenus financiers. Il est là. Il se vit, tout simplement

Voilà, j’espère que cet article vous aura inspiré et vous aidera à créer un environnement porteur dans votre vie. Alors, qu’en pensez-vous ? Partagez-moi vos impressions et vos expériences ! C’est toujours très intéressant d’avoir votre retour.

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Comment créer une vie exceptionnelle ?

Vous avez chacun le pouvoir de créer une vie exceptionnelle. Chacun d’entre vous peut améliorer sa qualité de vie, en cultivant l’art de réussir, en prenant soin de lui et en habituant son esprit à le nourrir de pensées positives. Une fois que vous y êtes arrivés, vous attirez à vous de magnifiques expériences qui viennent enrichir votre vie.

Il existe une loi universelle qui nous crée, qui nous soutient, qui nous relie les uns aux autres et œuvre en complicité avec nos pensées, nos paroles, nos émotions et nos actions pour créer notre vécu. Lorsque vous reconnaissez cette énergie bienveillante et que vous travaillez en collaboration avec elle, votre existence se développe de façon miraculeuse. Des opportunités vous sont ouvertes, des rencontres viennent à vous et des situations se délient, qui vous permettent d’avoir un impact positif sur votre vie. Si finalement vos pensées avaient une réelle influence sur votre vie ? Si votre conscience était directement reliée à vos résultats ?

Adhérer à cette théorie consiste à penser que tout est possible. Les obstacles ne sont plus des dangers, ils deviennent alors de réelles opportunités de croissance. Se répéter des pensées positives contribue à développer une émotion positive qui améliorera par exemple votre confiance en vous, votre capacité à prendre la parole en public ou encore votre désir d’aller parler à la personne qui fait battre votre cœur. À l’inverse, si vos pensées et vos émotions sont constamment négatives, vous risquez grandement d’attirer du négatif dans votre vie, tant dans vos relations, au travail que dans les situations de vie que vous créez.

Il n’est plus à démontrer les liens de causes à effets entre les mécanismes d’expression internes et externes d’un individu. Les interactions systémiques qui relient vos pensées à vos émotions et à vos comportements sont des fonctionnements inconscients d’une rapidité incroyable. Vos pensées évoquent vos images, vos représentations internes, ce que vous vous dites dans votre tête. Elles créent des émotions comme la peur, la joie, la tristesse ou encore la colère qui vibrent avec ce que vous ressentez. Enfin, vos comportements sont le résultat des actions que vous mettez en place en lien avec vos émotions.

Prenons un exemple : votre journée est pénible au travail. Le stress vous envahit car vos pensées ne parviennent pas à vous dégager d’un problème professionnel. Vous avez beau chercher dans tous les sens, vous n’y voyez aucune solution. Votre comportement en est même affecté si bien que vous devenez nerveux et agressif avec vos collègues. Cette spirale négative, que nous avons déjà tous vécue, peut avoir des conséquences désastreuses tant dans votre vie professionnelle que dans votre vie privée, surtout si vous restez emprisonné dans des blocages dont certains remontent parfois à votre enfance et autour desquels vous avez créé tout un système de croyances limitantes. La solution pour vous en sortir est de modifier votre système de pensées. Les deux autres forces, que sont vos émotions et vos comportements, seront automatiquement influencées et le blocage pourra commencer à se dénouer progressivement. Une solution viendra à vous bien plus vite que vous ne le pensez, si vous parvenez à gérer vos pensées négatives en vous donnant accès à votre intelligence préfrontale, celle qui se situe à l’avant de votre cerveau. C’est la seule capable de gérer des situations complexes, les prises de risques ou encore de saisir les opportunités offertes par un échec. Pour basculer dans le monde préfrontal, prenez du recul par rapport à la situation que vous vivez. Arrêtez-vous un instant. Focalisez-vous d’abord sur votre respiration et les battements de votre cœur. Observez ensuite la situation comme un spectateur et regardez à quel point le stress ou la peur peuvent saboter votre prise de décision, votre engagement ou encore votre créativité à résoudre un problème.

Bien que le postulat de départ de cette théorie soit que l’énergie des pensées positives est toute puissante, il ne suffit pas de mentaliser et d’émettre des sentiments positifs à propos de quelque chose que vous désirez à tout prix ou que vous ne voulez plus dans votre vie, il faut également mettre en place tous les moyens et tous les efforts pour l’obtenir. C’est la raison pour laquelle le pilotage du changement est de toute importance. Si vous voulez vous assurer d’un certain succès, la conduite du changement doit être faite avec méthode sans quoi, il sera difficile de vaincre la résistance naturelle face à celui-ci. Retenez que les seuls éléments que vous pouvez vous-même contrôler et sur lesquels vous pourrez toujours agir dans votre vie sont vos pensées, vos émotions et vos actions. Pour tout le reste, prenez conscience dès aujourd’hui qu’il faut pouvoir lâcher prise et accepter de regarder une situation d’un autre point de vue en renonçant à tout contrôler, pour vous-même et pour les autres.

Vous n’êtes pas responsable de ce que les gens pensent de vous, ce qu’ils disent sur vous, ou encore des émotions et des comportements des autres. La seule chose que vous pouvez faire pour être heureux est de vous en détacher le plus souvent possible. Mais ce processus est difficile tant vous avez été conditionné à puiser votre valeur à travers le regard de l’autre, à commencer par celui de vos parents dès votre plus jeune âge. Et pour peu que vous ayez eu des parents qui ne vous laissaient pas le droit à l’erreur ou vous rabaissaient sans cesse, il y’a fort à parier que vous ayez intériorisé ce critique intérieur qui vous juge sans cesse et qui vous dit que vous êtes incapable de créer une vie exceptionnelle. Vous devez apprendre à reprogrammer votre système de croyances et utiliser votre énergie de manière constructive et la focaliser sur ce que vous voulez voir se réaliser dans votre vie. Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais.

Peut-être souhaitez-vous obtenir plus de réussite dans votre business, trouver l’amour de votre vie, fonder une famille, atteindre un but en particulier ? Vous avez sans doute compris que si vous voulez que votre vie s’améliore, c’est vous qui devez alors changer en premier. Il n’y a pas de chance, pas de hasard, pas de fatalité mais juste des efforts à fournir dans la durée, en vous fixant un objectif ambitieux mais réaliste, en accord avec vos valeurs et vos besoins. C’est en vous impliquant de manière assidue que vous allez créer une vie exceptionnelle. Les gens qui réussissent vont chercher l’inconfort car il n’y a jamais de progrès dans l’autosatisfaction. Ce n’est pas en restant assis dans votre canapé, à vous goinfrer de sucre, à regarder Netflix ou à passer des heures à scroller sur les réseaux sociaux que vous allez progresser. Vous êtes déjà en train de régresser pendant que d’autres sont en train de croître.

La majorité des gens estiment qu’il existe un schéma de vie prédéfini qui consiste à suivre des études, obtenir un diplôme, décrocher un travail, trouver le partenaire idéal, fonder une famille, acheter une maison, élever un chien, partir en vacances une ou deux semaine(s) par année. Vous voyez sans doute de quoi je parle ? J’ai vécu cela moi aussi pendant plusieurs années. Le plaisir dure un temps. Il est souvent de courte durée. Puis la routine s’installe. Les gens se contentent d’une vie matériellement rassurante et pensent alors que tous leurs problèmes sont résolus. Jusqu’au jour où plus rien ne va. Les disputes s’enchaînent. Celle ou celui qui était parfait(e) au départ devient tout à coup le pire des monstres à vos yeux. Le couple explose. Les enfants sont ballotés d’un foyer à l’autre. On refait sa vie comme on peut en passant d’un partenaire à un autre et en reproduisant les mêmes schémas, ou alors on décide de rester seul à se morfondre et à en vouloir à mort à cette ordure qui nous a quittés. Comment ce schéma a-t-il fonctionné dans votre vie jusqu’à présent ?

En ce qui me concerne aujourd’hui, j’estime que cette façon de voir les choses est le meilleur moyen d’avoir une vie triste à en mourir. Regardez un peu autour de vous, parmi vos amis, le nombre de divorces ne fait qu’augmenter. Quand on y regarde de plus près, on constate que 4 mariages sur 10 se terminent par une séparation. La durée moyenne du mariage oscille autour de 15 années et certains experts s’accordent pour dire que c’est après 5 années de mariage que le risque de divorce est le plus élevé. Parmi les raisons les plus fréquemment citées, nous pouvons citer l’infidélité, le manque de complicité, les désaccords sur les fondamentaux de la vie commune comme l’éducation des enfants, l’argent, le surmenage au travail, la belle-famille ou encore l’addiction à l’alcool. Voulez-vous d’une vie en apparence sans problème mais ennuyeuse au possible qui risque de se terminer, une fois sur deux, par un échec ou une vie passionnante avec de nouveaux défis à relever, seul ou en couple ?

Pour croître et créer une vie extraordinaire, il ne suffit pas simplement de l’espérer. Il vous appartient de prendre une véritable décision et de vous engager dans ce changement. Si vous êtes poussé par quelqu’un d’extérieur, que ce soit votre partenaire, un membre de votre famille, un collègue ou un ami, il est fort probable que vous n’atteindrez pas les résultats escomptés. Votre système nerveux, qui préfère rester dans sa zone de confort, doublera de vigilance et vous fera reculer inéluctablement. En revanche, si vous décidez personnellement ou en couple de manière conjointe de vous engager, de vous responsabiliser et de devenir le leader de votre propre vie, vous aurez bien plus de chance d’atteindre le succès. Une fois cette décision prise, vous allez immédiatement transmettre à votre système nerveux de vous donner l’autorisation et les moyens de sortir de votre zone de confort et du statu quo.

Vous êtes né pour vivre exceptionnelle. Combien de personnes sur leur lit de mort ne partent pas avec des regrets ? Voulez-vous faire partie de celles-ci ? Quand les gens se rendent compte que leur vie est presque terminée et qu’ils la regardent avec clarté, ils voient le nombre de rêves qu’ils avaient et qu’ils n’ont pas pu réaliser ou encore le courage qu’ils n’ont pas eu d’exprimer leurs sentiments. Bien souvent, ils pensent à la détresse qu’ils ont causée à eux-mêmes et aux autres, en jouant une personne qu’ils n’ont jamais vraiment été. Tant que vous avez encore de nombreuses années à vivre, et quand bien même il ne vous en resterait que très peu, prenez le temps de poursuivre vos rêves. Ne les remettez jamais à demain. Un jour, ce sera trop tard.

Léon Tolstoï disait : « Tout le monde pense à changer le monde mais nul ne pense à se changer lui-même. » J’ai l’intime conviction que le meilleur cadeau que vous puissiez offrir au monde est de devenir la meilleure version de vous-même. De plus, vous avez une très grande responsabilité. Devenez un bel exemple pour vos enfants. Il n’est jamais trop tard. Êtes-vous prêt à vous dépasser et entamer un voyage extraordinaire à la découverte de vous-même qui fera une grande différence dans votre vie, au cours des prochains mois et des années à venir ?

Voilà, j’espère que cet article vous aura inspiré et vous aidera à créer une vie exceptionnelle. Alors, qu’en pensez-vous ? Partagez-moi vos impressions et vos expériences ! C’est toujours très intéressant d’avoir votre retour.